A J-1 du 31ème rendez-vous de la saison en championnat sur la pelouse de l’OGC Nice, Christophe Jallet a répondu aux questions des journalistes. Temps forts de cette intervention médiatique, thème par thème.Extraits.


SA FORME ACTUELLE


« Dans une saison, parfois on a moins de temps de jeu, puis on joue 3 ou 4 matches d’affilée, c’est pour ça qu’il faut rester concentré en permanence, car tout peut aller très vite dans un sens comme dans l’autre. Les tests physiques m’ont permis de voir que j’avais retrouvé mon niveau physique d’avant ma blessure. Le fait de pouvoir enchainer les matches et les victoires permet de retrouver la confiance qui est indispensable pour tout joueur de haut niveau. »


A 100% FACE A NICE

« Si on arrive à s’imposer face à Nice, ce qui ne sera pas facile, j’en veux pour preuve le match de la saison dernière (défaite 1-2), et bien c’est très simple : il s'agirait d'une belle préparation avant Chelsea. Certes, ce rendez-vous européen mobilise actuellement l’attention, mais on sera à 100% contre cette équipe niçoise. »





LA COURSE AU TITRE

« C’est plus facile d’être dans notre position avec 10 points d’avance mais il n'y a pas de quoi prendre ce match de Nice à la légère. Il n’y a pas de place pour le relâchement, on a envie de marquer les esprits avec beaucoup de points et de buts. On veut ce titre mais si on peut faire encore mieux en battant des records, ce serait parfait. »



LA DOUBLE CONFRONTATION CONTRE CHELSEA

« Ce sera ouvert, il n’y a pas de favori et ça peut se jouer sur des détails. On va pouvoir s’appuyer sur l’expérience du quart de finale de l’an passé face à Barcelone, notamment en faisant un gros match au Parc. Peu importe l’adversaire, il faut être à fond psychologiquement et ne pas avoir peur d’un joueur ou d’un autre. On se dit que c’est possible dans cette Champions League de rêver, on va y aller étape par étape en commençant par Chelsea donc. Il faudra faire deux gros matches pour espérer se qualifier.»





LE JEU PARISIEN


« On s’aperçoit qu’on joue depuis longtemps ensemble et que c’est forcément plus facile pour créer un collectif. Quand on n’a pas de déchet dans notre jeu, c’est dur pour l’adversaire et c’est ce qu’il faudra faire contre Nice puis Chelsea. Aujourd’hui, le travail au quotidien porte ses fruits avec un très beau football pratiqué et des résultats. »

SON AVENIR


« Je fais partie d’un des plus grands clubs du monde et j’aimerais donc forcément rester. Il me reste un an de contrat, pour l’instant je suis là et d’ailleurs très content d’y être ! »