Titulaire pour la première fois de la saison à l’occasion de la victoire
des Parisiens face à Saint-Etienne (2-1,a.p), ce mercredi en huitièmes
de finale de Coupe de la Ligue, Nicolas Douchez est revenu pour nous sur
cette rencontre.
Nicolas, c’est un beau succès que vous avez décroché ce mercredi face à Saint-Etienne…
« Oui, c’est une belle victoire face à une équipe difficile à jouer.
C’est surtout un succès synonyme de qualification et qui nous permet
donc d’accéder aux quarts de finale de cette Coupe de la Ligue. Car la
coupe c’est aussi un objectif. Et puis, sur un plan personnel, c’est
l’occasion d’avoir un peu de temps de jeu et de passer plus de temps sur
le terrain. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joué et ça
commençait à me manquer. Je suis donc très heureux que cela ce soit bien
passé. »
Comme tu l’as dit, c’était l’occasion pour toi de refouler les pelouses et de retrouver le public du Parc des Princes…
« Oui, c’est une sensation complètement différente d’être sur le
terrain plutôt que sur le banc de touche. Je me sens vraiment bien au
Parc des Princes, c’est un stade où j’aime jouer. Quand on entend les
supporters chanter, ou lorsqu’ils scandent mon nom c’est exceptionnel…
Cela me permet d’engranger de la confiance supplémentaire pour le
match. »
D’ailleurs comment as-tu vécu les moments qui ont précédé le début du match ?
As-tu évolué sur le plan mental depuis ton arrivée au club ?
« Oui, c’est un domaine dans lequel j’ai progressé. Ma situation est
différente à Paris car je joue moins, mais avec l’âge et l’expérience on
apprend à gérer ça. Aujourd’hui je me plais à Paris, je prends du
plaisir à être dans cette équipe et quand je suis sur le terrain, je
suis content. »
Enfin, dimanche Paris affronte Lille pour le dernier match de
cette année 2013, est-ce la finale de cette première moitié de
championnat ?
« Je ne le vois pas comme une finale, mais
c’est un match qui peut nous permettre de distancer une équipe qui fait
partie des candidats potentiels à la course au titre. Ce match ne sera
pas décisif car il restera 19 matches à disputer après celui-ci. Mais si
on pouvait creuser l’écart dès ce week-end et partir en vacances avec
le titre honorifique de champion d’automne et avec un peu d’avance sur
les concurrents, ce serait une bonne chose. »
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