Les hommes de Carlo Ancelotti se sont imposés aux forceps samedi soir, face à une équipe de Nancy batailleuse, grâce à un doublé de Zlatan Ibrahimovic!
Face au 19e de Ligue 1, Paris avait à cœur de renouer avec la victoire et de conforter sa première place au classement. Il fallait néanmoins se méfier de cette formation lorraine, en pleine lutte pour le maintien. Ce sont d’ailleurs les Nancéiens qui s’illustrent les premiers avec une frappe flottante de Karaboué, repoussée par Sirigu (7e). La réplique vient de Matuidi qui s’échappe seul face à Gregorini, ouvre son pied, mais voit le ballon heurter le mauvais côté du petit filet (12e).
Cependant, Nancy ne lâche pas et Jebbour oblige Sirigu à repousser sa frappe sur son poteau (27e) ! Finalement sur une transversale de Pastore, Alo’o Efoulou intercepte et sert Moukandjo dans le dos de la défense. Sirigu repousse la première frappe, mais le Nancéien parvient à pousser de la tête le cuir hors de portée de Thiago Silva (0-1, 36e). Paris va bien tenter de réagir par Pastore qui s'appuie sur Ibrahimovic avant d'aller trouver Lucas qui va buter sur le portier nancéien (42e). Et c’est donc sur ce score d'un but à zéro en faveur de Nancy que les deux équipes regagnent les vestiaires à la pause.
En tout début de deuxième période, Ibrahimovic lancé par Verratti va échouer sur Gregorini (48e). Ce n’est que partie remise. Dix minutes plus tard, nouveau un-contre-un. Cette fois l’attaquant trompe la vigilance du gardien et égalise pour Paris (1-1, 59e). La Parc explose de joie et n’a pas le temps de reprendre sa respiration que le géant Suédois frappe encore. Gregorini part à la rencontre de l’attaquant lancé par Verratti mais manque le ballon. Ibra n'a plus qu'à pousser le ballon au fond des filets (2-1, 62e) !
Sirigu sera encore alerté par Louis (86e), mais les Parisiens ne laisseront dès lors que peu de ballons aux Nancéiens à se mettre sous la dent. Un petit but d’avance, cela suffit pour remporter la victoire. Entré en jeu David Beckham salue le public avec ses coéquipiers avant de quitter la pelouse. Poussé dans ses retranchement, ce soir le Paris Saint-Germain a su prouver qu’il était le plus fort.
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