Mais n'oublions pas. Le passé, la galère. Le PSG vise les sommets. Il était au bord du précipice. Une fois tombé, il aurait été si dur de s'en relever. Ce n'est pas Strasbourg, Lens, Monaco, Metz qui diront le contraire.
Au PSG on parle d'investissements, sans limites.
N'oublions pas ceux qui se sont donnés sans limites pour notre club. Jerôme Alonzo est de ceux là. Titulaire ou remplaçant, toujours à fond derrière Paris.
Nous n'oublions pas. Nous n’oublierions JAMAIS.
Dans cette video, il nous remercie de notre soutien:
Pour le remercier, le CartelParisien s'associe à la pensée de ce supporter qui avait ecrit ceci apprenant la fin de carrière du grand Jérôme :
"En ce 31 juillet, je voulais tirer un grand coup de chapeau à un
homme qui a décidé de raccrocher les gants, de quitter son bien précieux
de 7,32m sur 2,44m; je parle évidemment de Monsieur Jérôme Alonzo.
On peut dire beaucoup de choses, qu'il n'a jamais été vraiment titulaire au PSG, que rester si longtemps dans un club sans vraiment jouer c'est le signe d'un gars sans grandes ambitions ni orgueil ou encore qu'en même temps, son chèque devait être assez intéressant pour le convaincre qu'il était bien ici, au chaud, NÉANMOINS, il a ce je ne sais quoi qui lui aura permis de conquérir le cœur de 95% des vrais supporteurs du club au berceau et à la Tour Eiffel.
Et cet honneur, ô, si peu de joueurs l'ont reçu.
Ce
sentiment inexplicable de s'être attaché à un homme plus qu'à un
joueur, quelqu'un qui pourtant part sans ne laisser aucune image, ou si
peu, dans la tête des supporters sinon celle d'une silhouette qui
suivait de quelques minutes Letizi puis Landreau au moment de
l'échauffement et que l'on applaudissait et acclamait sans la moindre
lassitude.
Ou encore ce retour au Parc lorsqu'il porta non
plus le maillot de la capitale, mais celui de l'adversaire d'un soir, et
pourtant, où il reçut plusieurs ovations dignes d'un joueur qui aurait
enchainé les matchs fabuleux.
Et pourtant, merci Monsieur Alonzo.
Finalement,
la morale de cette histoire est forte, là où le "romantisme" n'a plus
sa place dans un monde de football rongé par des mercenaires avides de
devises, de reconnaissance, où l'on intègre un club en espérant
simplement se faire remarquer rapidement par un grand d'Europe pour
pouvoir s'en aller, là ou l'on est prêt à signer dans un club sans
ambitions plutôt que dans un club chargé d'histoire car le chèque est
moins brillant; là où l'on est prêt à humilier tout un pays pour des
querelles d'enfants gâtés; là où les joueurs n'hésitent plus à insulter
les supporters, etc, et bien dans ce monde du football où beaucoup
d'amoureux de ce sport ne se reconnaissent plus, ne voient plus les
nobles valeurs qu'il était censé véhiculer; le public s'est pris de
passion pour un homme simple, discret, respectueux, et qui ressemble à
chaque individu assis dans sa tribune et en qui chacun peut se
reconnaitre.
Cela doit être pour cela qu'on l'aime, et il était un homme bien avant d'être un bon joueur.
Chapeau bas, et bon vent!"
Et Jérôme lui avait répondu, déjà:
La langue française est riche, mais les mots manquent pour exprimer notre gratitude. Alors MERCI. Nous attendons ton retour au PSG.

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