Le dernier rempart parisien s'est présenté sous le chapiteau de Clairefontaine, ce vendredi, pour répondre aux questions des journalistes. Extraits.



 Salvatore, comment appréhendes-tu tes retrouvailles avec le Parc, ce dimanche contre Ajaccio ?
« Je pense que c'est important de retrouver le Parc et notre public. La dernière fois, c'était pour fêter le titre. Aujourd'hui, un nouveau championnat commence. On va chercher à défendre ce titre avec toutes nos forces. Retrouver le Parc nous motive. »

Vous aviez souffert en première période le week-end passé contre Montpellier et lors du trophée des Champions face à Bordeaux, comment comptez-vous corriger cela ?
« Notre objectif pour tous les matches ce sera de démarrer fort. À Montpellier, c'est vrai que l'on a été en difficulté dès les premières minutes de jeu. Maintenant, il faut se concentrer davantage pour ne pas souffrir autant en début  de partie. »




À quel type de match t'attends-tu contre Ajaccio ?

« Pour commencer, je ne considère pas que ce match soit plus facile que celui contre Montpellier, même si Ajaccio a une moins bonne équipe sur le papier. Ils nous ont déjà donné du fil à retordre la saison passée. Il faut donc les respecter, car c'est une des rares équipes que nous n'ayons pas battu lors de l'exercice précédent. »

Quelles sont tes premières impressions sur Edinson Cavani ?
« C'est un attaquant qui donne beaucoup physiquement pour son équipe. Il est capable de marquer et de bien défendre. C'est notre premier défenseur, il n'hésite pas à prêter main forte à ses coéquipiers et c'est important de posséder ce type de joueur. »

Pour finir, Monaco a été désigné comme votre concurrent principal cette saison, qu'en penses-tu ?


« Je pense que Monaco a une très bonne équipe, mais on oublie qu'il y a des équipes en France qui ne cessent de s'améliorer. Des clubs comme Marseille, Lyon ou Saint-Etienne ont des joueurs qui sont habitués à jouer ensemble. On doit donc se méfier de tout le monde. De notre côté, trois joueurs sont venus renforcer l'équipe. Mais pour la plupart on se connait déjà bien et c'est un avantage, car on ne doit pas mettre en place une équipe comme l'année passée. On peut donc s'appuyer sur une base solide. »