mardi 18 décembre 2012

Jallet dans « Luis Attaque »


Christophe Jallet 28 ans, le latéral droit international français s'est exprimé avec simplicité dans  « Luis Attaque » sur RMC.



Sa philosophie

 «Mon secret, c’est le travail. C’est fondamental. C’est une question d’acharnement et d’abnégation.»

 Après la crise l'équipe est devenu plus solide

 «Désormais, on est solide. On a su faire le dos rond face à Lyon. C’est un changement radical depuis la défaite à Nice. C’est presque dommage que la trêve arrive maintenant […] Le titre, c’est l’objectif principal. On ne s’en cache pas. On aurait aimé l’avoir la saison passée. On est sur la bonne voie, si on continue dans cet état d’esprit. En novembre, on a perdu pas mal de points. Je ne sais pas si on peut parler de crise. Le plus important, c’est de retenir ses erreurs pour avancer»

Le Paris Saint-Germain version QSI 

 «Au départ, on ne savait pas ce qui allait se passer. Il y a eu un discours comme quoi le groupe n’allait pas trop bouger. Puis, il y a eu un certain nombre d’arrivées. Aujourd’hui, tous les joueurs qui sont là sont satisfaits d’être au PSG. Le nombre d’étrangers est important. Le groupe d’il y a deux ans reste très important. Si onze joueurs sont bons sur le terrain, c’est que quinze autres derrière le leur permettent»

Le brassard de capitaine 

 «Thiago Silva s’est imposé comme le véritable patron de la défense. Humainement ou sportivement, ça ne change rien pour moi. Je n’ai pas été vexé. On a changé de système de jeu, il faut parfois s’adapter à certaines situations»

Ibra est très cool 

«Je n’ai pas vu Zlatan depuis les faits mais j’ai revu les images. Je ne pense vraiment pas qu’il ait fait exprès. Il est en l’air, il essaie de l’éviter. La commission jugera ce fait de jeu. Ibra est très cool, on pourrait le prendre pour un égoïste avec ses déclarations. C’est évident qu’on en fasse des tonnes sur lui»

Les équipes face au Paris Saint-Germain sont surmotivés

«Des fois, on joue contre des équipes qui se transcendent. Peu d’équipes sont venus au Parc en faisant un complexe, hormis peut-être Evian. C’est plutôt une rage positive que les adversaires ont contre nous»

Nene est son divorce amorcé avec le club reste un bosseur malgré tout

«Je ne sais pas si ça peut s’arranger. On le voit moins sur le terrain. La concurrence est accrue au sein  du club, il n’y a pas forcément le même temps de jeu pour tout le monde. C’est le premier à rester après l’entraînement pour continuer à travailler»

La volonté de poursuivre dans le football après sa carrière et sa passion du vin

«J’espère continuer dans le foot, mais pas en tant qu’entraîneur. Sinon dans le vin, mon autre passion, pour travailler un produit. J’aimerais faire découvrir le vin à un maximum de personnes»


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