mardi 17 avril 2012

Sakho : « Le plus important reste le collectif »



Mamadou Sakho, le défenseur du Paris Saint-Germain vit une fin de saison compliquée en ayant perdu sa place de titulaire par les choix du coach Carlo Ancelotti, chose étrange il était le capitaine du club de la capitale et n’a reçu auncune explication du coach, qui doit quoiqu'il arrive parler avec le capitaine de son équipe. Car, à deux mois de l'Euro 2012 ne pas jouer pour le jeune international français, pourraît fortement le pénaliser lui qui espère être dans la liste des Bleus. 

" Je continue à bien travailler pour tenter d’avoir du temps de jeu. Je donne toujours mon maximum. Quand le coach fait des choix et prend des décisions, il faut les respecter. Et la liste pour l’Euro, j’espère évidemment en faire partie, avant donc d’indiquer qu’il n’avait eu aucune explication de la part de Carlo Ancelotti concernant la perte de son statut de titulaire à .Sincèrement ? Non. Chacun sa philosophie. Moi,  j’essaie de rester toujours le même. J’arrive le matin avec le sourire. Je me donne à fond sur le terrain. Je travaille pour progresser. C’est l’essentiel. "

Mais en tant que capitaine de l’équipe, se retrouver sur le banc du jour au lendemain est une chose vraiment pas facile à vivre. 

" Bien sûr que c’est frustrant et énervant, surtout quand on est un compétiteur comme moi. Mais bon, il reste encore six matches de Championnat. Je reste concentré sur l’objectif du club décrocher le titre de champion. On travaille pour ça depuis l’été dernier. Ce serait vraiment bien d’être récompensé en fin de saison, a déclaré Sakho, qui sait toutefois que Carlo Ancelotti a assuré dans la presse qu’il était le futur du PSG. Tous mes coaches m’ont dit ça, et ils m’ont donné leur confiance. S’il le dit, c’est que c’est peut-être le cas. En attendant, je n’ai pas le temps de jeu que j’avais précédemment… Mais je dois travailler, comme tous les joueurs. Même les plus grands ne doivent pas s’arrêter de le faire. [...] Je dirais que ma saison est différente de celle de l’année dernière. Mais pas… (il se reprend) Je reste toujours là, toujours présent et je ne change pas. " 

Enfin, le Parisien a avoué avoir mal vécu le fait de ne pas avoir pu participer au dernier Classico face à l’OM. 

" C’est rageant et frustrant de rater ce type de match. J’étais sur le banc mais j’ai essayé de faire en sorte que l’équipe ne ressente pas mon énervement. Car le plus important reste le collectif. Le groupe doit, dans ces moments-là, avoir un état d’esprit positif. Mais personnellement, ce fut énervant. " a confié l’international français, Mamadou Sako à L'ÉQUIPE.

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